La ville d’Hammam-Lif connue naguère sous le nom punique de Naro avait commencé par ètre un modeste petit village avant de connaitre la célèbrité avec la réputation de ses
eaux thermales jaillissant du bas de la montagne BALL-KARNEINE, ce qui signifie en langue phénicienne de Dieu aux deux cornes, réputé à lâre Carthaginoise et dont le temple a
été découvert et par la suite conjugué au Dieu romain Saturne (IIème et IIIème siècle après Jésus Christ) ainsi que plusieurs hiéroglyphes, offrande à ce Dieu nommé SATURNE
BAL KARNENSIS.
La ville d’Hammam-Lif était connue à l’ère romaine sous le nom AD ADQUAS PERSIEA NAE. Elle a pris les proportions d’une petite ville sur le versant ouest de la
montagne Boukornine. Des vestiges de lieux de culte chrétien et d’une synagogue juive y ont été découverts, lors de fouilles archéologiques effectuées à la fin du 19 ème siècle.
Au début de 1999, on a découvert une cité industrielle remontant aux ères romaine et byzantine (du IIIème au VIIème siècle après J.C.) et comprenant des vestiges supposés
être des tanneries.
On a découvert également un temple chrétien jouxtant des installations artisanales, ainsi La ville d’Hammam-Lif était connue à l’ère romaine sous le nom AD ADQUAS PERSIEA
NAE. Elle a pris les proportions d’une petite ville sur le versant ouest de la montagne Boukornine. Des vestiges de lieux de culte chrétien et d’une synagogue juive y ont été
découverts, lors de fouilles archéologiques effectuées à la fin du 19éme siècle.qu’une distillerie de vin et un atelier de vitrerie. Ces vestiges témoignent de l’existence d’une
importante cité artisanale dans cette zone relevant de la ville ancienne.
--Découverte d'une cité industrielle en 1999--
A l’ère de la conquète islamique, la ville d’Hammam - Lif était connue sous le nom de Hammam El Jazira (l’éle Abou Charik auparavant et de nos jours le Cap Bon). Par la
suite, lui a été conféré le nom d’Hammam Lif du fait des spécificités de ses eaux chaudes et chargées de soufre.
En 1705, Hussein Ben Ali Pacha Bey accède au trône de la Tunisie et fait escale au versant de la montagne Boukornine, où il a passé sa première nuit à proximité de
l’ancienne source souterraine.
En 1750, le Bey ordonne la construction, à cet endroit, d’une suite pour y résider l’hiver.
Depuis cette date, plusieurs palais furent édifiés au profit des ministres et des princes de la cour.
Les sources furent alors aménagées afin d’alimenter les piscines de ces nombreux palais. Et c’est autour de ces sources que se sont installés les habitants venues de contrées lointaines, pour des cures balnéaires.